À Karine «Katou» Tremblay
Ton rire sonne le glas,
Sonne la mort, sonne la fin
De la tristesse, des cœurs las,
De l'ennui et du chagrin.
Il semble clair comme la glace
Qui défile sous tes patins
Où tu montres toute ta grâce
Sur des rythmes, des sons divins.
Je t'aime bien, je l'avoue,
Mais n'en crois pas le rouge de mes joues,
Je ne t'aime pas comme l'être aimé.
Je te le dis et c'est tout
Même si je le pense aussi beaucoup
Je t'aime d'une grande amitié.